Les lampes Rouges PHILIPS, deuxième partie.

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Les lampes Rouges PHILIPS, deuxième partie. 
11.Jun.05 11:44
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Jacob Roschy (D)
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Jacob Roschy

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Traduit par Jean Beseme

Suite de la première partie



Additions de 1938

 


 

EAB1 :
Triple diode à cathode commune.
Sortie en Mai 1938.


Ce tube a été développé spécialement pour le circuit à trois diodes inventé par Philips. Un des buts était d'éliminer la distorsion et d'autres effets collatéraux qui apparaissaient avec le CAG retardé. La première diode servait comme détecteur, la seconde comme redresseur de CAG (non-retardé), et la troisième fournissait la tension de retard de CAG. Ceci était obtenu en donnant à cette diode un courant de polarisation positif, par ex. 5 µA, au lieu d'une polarisation négative. Une résistance de forte valeur fournissait ce courant à partir de la HT. Une seconde résistance était connectée à la tension négative de CAG.

 

Tant que le courant négatif dans cette résistance restait en-dessous de 5 µA (dans cet exemple), la tension de diode restait à 0 V. C'est seulement avec des courants négatifs plus grands que la diode cessait de conduire, et que la tension devenait négative, ce qui procurait le retard. (principe de la diode de clamp).

 

Ce circuit a été utilisé seulement dans quelques postes haut de gamme de l'époque. Plus tard, cette technique a passé de mode, et aucun tube plus récent n'a été développé dans ce but.

 


 

EBF2 :
Double diode + pentode à pente variable, remplace l' EBF1.
Sortie en Juillet 1938.
S = 1,8 mA/V

 

C'est la première double diode - pentode à pente variable avec tension d'écran "glissante" plutôt que fixe dans la série rouge, remplaçant l' EBF1 précédent, de la même façon que l' EF9 remplace l' EF5. L' EBF11 Telefunken a des caractéristiques très similaires.

 


 

ECH2 :
Triode - heptode pour changement de fréquence, emplace l' EK2.
Sortie en Juin 1938.
Sc = 0,75 mA/V , If = 0,95 A !

 

Depuis l' AK1,  la tradition chez Philips était de fournir des octodes comme changeurs de fréquence. Cependant, ni l' AK1, ni l' EK2 amélioré ne pouvait atteindre les performances possibles en ondes courtes avec les triodes - hexodes. En Allemagne, il y avait la triode - hexode ACH1 depuis 1934, en Grande-Bretagne les FC2 et AC/FC, et en France, Tungsram avait sorti la 6TH8 en 1937.

 

Comme solution possible, avec l' EK3, Philips essaya de fabriquer une octode ayant prétendûment les qualités d'une triode - hexode., et qui était cependant beaucoup plus compliquée qu'une triode - hexode normale !

 

La chute de la demande pour les octodes conduisit Philips, à côté de la pseudo - octode EK3, à un acte de désespoir supplémentaire, la triode - heptode ECH2 !

 

La technologie de ce tube était cependant ridicule comparée aux autres : avec 0,95 A, le courant de chauffage est près de 5 fois plus élevé que celui de la triode-hexode ECH11 Telefunken sur le point de sortir, et même supérieur à celui du tube de sortie EL3N. De plus, les dimensions de l' ECH2 étaient énormes pour un tube destiné aux  petits signaux : la version Philips d'origine avait la grosse enveloppe cylindrique de la vieille EL3, tandis que la version Tungsram montrée ici avait une enveloppe en dôme plutôt corpulente, visiblement encore plus grosse que celle du tube de sortie EL3N.

 

Après la sortie en 1934 des derniers tubes petits signaux avec filaments 4 W, et à partir de 1936, de ceux avec seulement 1,26 W, l' ECH2 nécessitait un bon 6 W.

 

Ce tube avait probablement plutôt une fonction d'alibi, si bien qu'à la question embarassante des clients : "Quand est-ce que Philips à son tour fournira des triodes-hexodes ?", on pouvait désormais répondre : "Nous avons même maintenant une triode-heptode".

 

L 'acceptation  de l' ECH2 a été faible, et Philips lui-même semblait mettre peu d'espoir en lui, car dans d'importants pays comme la France, il n'est jamais apparu. Ce sont seulement les triodes-heptodes suivantes ECH4, ECH21 et ECH81 qui ont eu un grand succès et se sont vendues par millions.

 


 

EF8 :
Tube amplificateur à pente variable et faible bruit, destiné particulièrement à l'amplification HF.
Sortie en Mai 1938.
S = 1,8 mA/V

 

En dépit du "F" dans la désignation, ce n'est pas réellement une vraie pentode. Pour l'amplification HF seule, on souhaite en principe un tube donnant la plus grande amplification possible, ce qui conduit à utiliser des pentodes. Cependant, celles-ci produisent un bruit intempestif (bruit de répartition), résultant de la distribution du courant entre l'anode et la grille-écran. L' EF8 est construite comme une pentode, mais une grille supplémentaire, ayant le même pas que celui de l'écran, est disposée devant celui-ci, de façon que ses spires se situent exactement devant les siennes. Si cette grille auxiliaire est portée à 0 V, elle repousse la plupart des électrons et le courant d'écran est très petit par rapport au courant d'anode, le bruit s'en trouvant réduit.

 

L' EF8 a été utilisé seulement dans les étages HF des récepteurs haut de gamme de l'époque, aucun autre tube de ce style n' a été développé ensuite. L' EF13 de Telefunken vise le même objectif que l' EF8, mais avec une structure différente des électrodes.

 


 

EF9 :
Pentode à pente variable, remplace l' EF5.
Sortie en Mai 1938.

S = 2,2 mA/V

 

L' EF9 est la première pentode à pente variable avec tension d'écran glissante dans la série rouge, remplaçant l' EF5 sortie deux ans plus tôt. Au lieu d'une tension d'écran fixe, obtenue par exemple par un diviseur de tension, ici on ne met qu'une seule résistance qui procure la tension convenable de 100 V quand il n'y a pas de polarisation additionnelle sous l'action du CAG. Si la polarisation de grille augmente, la tension d'écran augmente car le courant diminue. Cette construction rend possible une plus grande pente, tout en ayant un courant d'anode plus petit en l'absence de tension de contrôle : S = 2,2 mA/V et Ia = 6 mA.

L' EF11 Telefunken a des caractéristiques très semblables  à celle de l' EF9.

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11.Jun.05 11:51

Jacob Roschy (D)
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Jacob Roschy


 

EFM1 :
Oeil magique + pentode BF à pente variable :
Tube multiple pour indication d'accord et simultanément préampli BF.
Sortie en Juillet 1938.


Ce tube était dérivé dans une large mesure  de l' EFM11 développé par Telefunken. Même la grosse ampoule de 37 mm de diamètre, imposée par le culot des "Stahlroehren" ( tubes Acier), a été gardée, bien que ce ne soit pas nécessaire avec le culot à contacts latéraux.

 

Avec l' EFM1, la préamplification BFétait combinée avec l'indication d'accord, la partie pentode étant utilisée comme tube à pente variable avec tension d'écran glissante (voir EF9). L'écran est connecté aux électrodes de déflexion de la partir indicateur. La grille de commande reçoit le signal BF, et aussi la tension de CAG. Donc le signal BF en sortie est contrôlé en fonction de l'amplitude du signal FI, tandis que l'affichage est contrôlé simultanément par la tension glissante d'écran.

 

Avec l' EFM1, il était possible d'économiser un tube, ou bien le nombre de tubes n'avait pas besoin d'être augmenté pour avoir l'indication d'accord

 

Il en résulte les deux équipements possibles :

EK2 + EBF2 + EFM1 + EL3 ou

EK2 + EF9 + EFM1 + EBL1

 

En raison du taux de distorsion plutôt élevé, et de la faible plage de variation de l'indication, cette combinaison de tubes ne donnait pas satisfaction, et fut remplacée rapidement par les indicateurs à double sensibilité EM4 ou EM11.

 


 

EK3 :
Octode à quatre faisceaux pour changement de fréquence, remplace EK2.
Sortie en Mai 1938.

Sc = 0,65 mA/V , If = 0,6 A !

 

Pour le changement de fréquence, à cette époque (1939), on pouvait choisir entre deux types de tubes : Octodes ou Triodes-Hexodes.

Les octodes ont une structure d'électrodes plutôt plus simple, mais ont l'inconvénient du glissement de fréquence aux plus hautes fréquences, provoqué par l'action du CAG, ce qui est plutôt désagréable en présence du fading permanent affectant les stations en ondes courtes.

 

Les triodes-hexodes ne sont pas sujettes à cet inconvénient, mais leur construction est plutôt compliquée à cause de la présence de deux sections séparées.

 

Strictement parlant, l' EK3 tube n'est pas une octode, mais une triode-heptode avec une disposition circulaire des électrodes :

Autour d'une partie commune, cathode et grille 1 (grille oscillatrice), le système est divisé en quatre secteurs.

 


 

Les deux paires de secteurs opposés forment deux sections, séparées par des systèmes de guidage électronique : une section triode gauche-droite, une section heptode haut-bas.

 

La construction, à partir d'un monstrueux enchevêtrement de fils et de plaques, est visiblement plus encombrante que celle d'un tube de sortie EL3, avec la taille d'ampoule correspondante, et le courant de chauffage est, avec 0,6 A, trois fois celui d'une octode normale EK2.

 

Avec l' EK3, Philips pouvait être considéré comme protégeant sa tradition des octodes, et pouvait probablement éviter d'avoir à payer des royalties à Telefunken pour le brevet de la triode-hexode, mais ce tube était si coûteux à produire qu'il devait vraisemblablement être subventionné pour que quelqu'un l'achète.

 


 

EL6 :
Pentode de sortie 18 W, avec deux fois la pente de l' EL5 qu'il remplace.
Sortie en Juillet 1938.

Pa = 18 W , Ia = 72 mA , Vg = -7 V , s = 14,5 mA/V , If = 1,2 A.

 

Depuis que les AL3 et EL3 étaient disponibles, les tubes de sortie de puissance normale nécessitaient des signaux de commande relativement petits (4,2 V).

 

Dans le but d'avoir une tube de sortie plus puissant avec une sensibilité similaire, l' EL6 a été développé simultanément et identiquement au Telefunken EL12 de la série Acier. Nécessitant un signal d'entrée de 4,8 V, l' EL6 pouvait être piloté par des circuits normaux destinés à l' EL3, alors que l'ancien EL5 nécessitait 8,2 V.

 

En classe A, l' EL6 délivrait une puissance de sortie de 8,2 W.

En montage push-pull, auquel il n'était pas réellement destiné, il délivre seulement 14,5 W, nettement moins que l' EL5 (19,5 W).

 


 

L' EL6 a par la suite évolué vers le 4699, qui pouvait fournir une puissance plus grande en travaillant depuis une HT plus élevée.

 


 

ELL1 :
Double pentode pour étage de sortie push-pull, pour auto-radios.
Sortie en Juillet 1938.

Pa = 2 x 4,5 W , Vg = -20 V , S = 1,8 mA/V , If = 0,45 A

 

L' ELL1 est le premier tube push-pull de sortie, avec deux petites pentodes dans une seule enveloppe, et il était destiné aux auto-radios. Avec un courant de chauffage de la moitié de celui de l' EL3, et un courant de repos plus petit (30 mA), on pouvait obtenir une puissance de sortie plus grande (5,4 W). C'était cependant avec une pente nettement plus petite, ce qui rendait nécessaire un signal de grille de 2 X 19 V, qui, avec la technologie de l'époque, devait être fourni par un transformateur driver push-pull.

 

Il n'a pas existé de descendant direct de l' ELL1. C'est seulement bien des années après qu'est apparu l' ELL80, qui était cependant destiné davantage au marché domestique (stéréo).

 

Le tube concurrent comparable chez Telefunken était la triode de sortie push-pull EDD1, qui, comme la 6N7, fonctionnait avec courant grille (classe AB2), et surtout avec un courant de repos nettement plus petit (7 mA).

 

 

1882 et 1883

Philips utilisait la série 18 X X pour différents types de redresseurs à vide, par exemple : 1802 = RGN354 (Telefunken), 1805 = DW4/350 (Mullard) = RGN 1064 (Telefunken).

 

A première vue, l'affiliation des types 1882 et 1883 à la série rouge n'est pas évidente.

 

Dans leur zone de diffusion en Europe de l'Ouest, particulièrement en France, ils ont été utilisés exclusivement avec la série rouge, c'est pourquoi on doit les placer là.

 

Jusque là, il n'y avait que des redresseurs à chauffage 4 V (AZ1...4), ou 6,3 V (EZ1...4) pour cette série.

Dans les pays Européens où le marché des tubes était libre, il y avait cependant beaucoup de redresseurs avec chauffage 5 V, suivant la pratique Américaine.

 

Pour faciliter la tâche des fabricants de postes et de transformateurs, on a alors ajouté les types 1882 et 1883 avec filament 5 V à la série rouge, de façon qu'on puisse utiliser les mêmes transformateurs d'alimentation secteur qu'avec les séries de tubes Américains (Octal).

 


 

1882 :
Redresseur biplaque, à chauffage direct, remplace AZ1.
Sortie en Juin 1938.

2 X 350 V - 125 mA  / 2 X 400 V - 110 mA , Filament 5 V 2A

 

A part le culot à contacts latéraux, il correspond aux types Américains 5Y3G et 80. L'occasion historique d'appeler ce tube 1880 au lieu de 1882, en rapport avec son origine 80, a été perdue. Aucun autre type avec la dénomination 1880 n'est jamais apparu. Du fait que la 5Y3G était elle-même dérivée de la 80, on pouvait maintenant choisir entre trois redresseurs équivalents, avec support Américain 4 broches (UX4), octal et contacts latéraux.

 

La 1882 ne pouvait être généralement acceptée, car concurrencée par la 1883 à chauffage indirect et à grand succès, et sa fabrication a été arrêtéeb après 1945.

 


 

1883 :
Redresseur biplaque, à chauffage semi-indirect, réplique à contacts latéraux de la 5Y3GB Octal.
Sortie en Juin 1938.

2 X 350 V - 125 mA  / 2 X400V - 110mA , Filament 5 V 1,6 A semi-indirect.

 

Comme cela a déja été expliqué avec les EZ3 et EZ4, les redresseurs à chauffage direct posent un problème, car ils conduisent plus tôt que les autres tubes du récepteur, et fournissent des surtensions dangereuses dans l'intervalle.

 

Comme pour les tubes 6,3 V existants EZ3 et EZ4, le 1883 résout ce problème pour un tube à chauffage 5 V. Pour rendre le 1883 interchangeable avec le 1882, il a été conçu pour avoir la même résistance interne malgré le chauffage indirect.

 

Pour cela, la structure possède les mêmes cylindres d'anode que dans le 1882, et a simplement des cathodes à chauffage indirect.

 

Le chauffage était cependant seulement "semi-indirect", car la cathode était connectée à une extrémité du filament, plus précisément sur le côté gauche du culot (irrationnellement, car la cathode est normalement du côté droit). Cela dispensait d'avoir un bon isolement cathode-filament. Plus tard, la construction de la 1883 a été modifiée, tout comme l'a été celle du tube équivalent octal 5Y3GB, de fabrication identique, en disposant une plaque de forme particulière pour chaque demi-onde de part et d'autre d'une cathode commune plate. A part cela, aussi bien la 1883 que la 5Y3GB ont été fournies dans nombre de versions variées, différant seulement par la structure interne ou l'enveloppe.

 

Bien que ces deux tubes, 1882 et 1883, aient été sortis ensemble en Juin 1938, le 1883 a été bien plus largement adopté, à cause de ses avantages. On ne retrouve plus le 1882 dans les matériels fabriqués en France après 1945.

 


 

Dans les recueils Allemands de caractéristiques, les dénominations RGN1882 / RGN1883 étaient choisies exclusivement par Telefunken, et n'ont pas de valeur générale. En face des 100 ou 1000 tubes de remplacement fournis par Telefunken sous ces dénominations, des millions d'autres existent aussi sous le nom original 1882 et 1883.

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Additions de 1939 
11.Jun.05 11:57

Jacob Roschy (D)
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Jacob Roschy

 


 

ECH3 :
Triode-Hexode pour changement de fréquence.
Sortie approximativement à l'été 1939.

Sc = 0,65 mA/V , If = 0,2 A

 

A peine quelques mois après que Philips ait sorti sa triode-heptode géante ECH2, et sa pseudo-octode "quatre faisceaux" EK3, très compliquée et à peine moins gigantesque, une nouvelle génération de tubes changeurs de fréquence a été développée avec l' ECH11 de Telefunken, qui surpassait tous les tubes changeurs de fréquence précédents.

 

On ne pouvait que s'apitoyer sur Philips et ses tubes monstrueux ECH2 et EK3 comparés à cette nouvelle génération de tubes, et il n'a pu faire autrement qu'adopter la conception de l' ECH11 pour aboutir à l' ECH3 de la série rouge. A partir de là, c'est l' ECH3 qui a été utilisée exclusivement comme changeur de fréquence dans la série rouge.

 


 

EM4 :
Oeil magique à double sensibilité, remplace EM1 et C/EM2.
Sortie en Juillet 1939.

 

Aucun des précédents "oeils" n'avait la possibilité d'indiquer clairement l'accord dans toute la plage de variation de niveau de signal, de très faible à très fort. Si on les alimentait avec toute la tension détectée, ils étaient déja complètement fermés pour des signaux de niveau moyen, et les signaux forts ne provoquaient aucun changement de l'affichage. Si la tension de commande était diminuée de façon à ne le fermer que pour les signaux les plus forts, il n'y avait presqu'aucune déviation pour les signaux plus faibles.

 

Le problème a été résolu avec la construction de l' EM4. Contrairement à l' EM1, qui avait quatre électrodes de déflexion fonctionnant en parallèle pour donner la même déviation, l' EM4 a seulement deux électrodes, mais avec des sensibilités différentes. Ceci est obtenu en ayant une structure amplificatrice derrière l'écran fluorescent, composée d'une cathode commune avec l'affichage, d'une grille avec deux spiralages différents, et de deux anodes de dimensions différentes. Ceci constitue deux triodes ayant des gains différents dûs aux pas différents des grilles. Les anodes sont réunies aux électrodes de déflexion. Le système le plus sensible autorise l'indication des signaux faibles, alors que l'autre ne montre pratiquement pas de déviation, tandis que le dispositif le moins sensible montrera encore une variation sur les signaux forts quand l'autre sera déja en saturation.

 

Fin de la deuxième partie,

continué à la troisième partie

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